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Si d'ici trois semaines, vous n'avez pas ajouté l'année à votre personnage,
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 Recrutement d'Aides au RPG

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Erwan Narcos
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MessageSujet: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeJeu 18 Mar 2010, 18:38


RECRUTEMENT D'AIDES AU RPG



Nous recrutons de toute urgence des AIDES au RPG

Si vous pensez pouvoir aider les autres à améliorer leur RPG, vous pouvez postuler en tant qu'Aide en remplissant le formulaire suivant :

Code:
[b][u]Pseudo :[/u][/b]
[b][u]Temps à consacrer à cette aide par jour :[/u][/b]
[b][u]Niveau RP estimé :[/u][/b]
[b][u]Votre RP que vous préférez :[/u][/b]

Merci d'avance !
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Syndrell Ellasian
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MessageSujet: Une volontaire pour...aider au RPG !   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeLun 07 Juin 2010, 10:12

Bonjour, chef !
Voilà, je souhaite postuler pour un poste d'aide. Voici donc ma fiche de demande.


Pseudo : Syndrell Ellasian
Temps à consacrer à cette aide par jour : En moyenne, une vingtaine de minutes, je pense.
Niveau RP estimé : Plutôt bon – c’est dur que d’évaluer son propre niveau sans se laisser aller à se vanter ! Mais si ça peut ajouter une qualité à mon cv, je suis étudiante en littérature, et je suis écrivain à mes heures perdues. Disons que je ne me débrouille pas trop mal…
Votre RP que vous préférez : La question qui tue ! J’aime tous mes RP, maintenant si je dois en choisir un… Voici voilà :


- Offre moi ton nom et ta voie.

Syndrell resta accroupie tandis qu’il s’éloignait sans bruit. Ombre parmi les ombres, il se glissa entre les arbres, sans disparaître complètement. Sa présence envahissait toujours l’endroit comme une fragrance imperceptible mais qui reste sur le bout de la langue une fois qu’on l’a goutée.

Il lui demandait un nom. Le sien.
Celui qu’elle avait volé à un mort pour en épargner d’autres.
Elle ferma les yeux. Et, à travers ses paupières closes, discerna vaguement les traits de cette femme…

* * * * * * * * * *

C’est une très vieille dame aux cheveux d’argent et au visage marqué par les rides du temps. Dans ses yeux, émeraudes étincelantes de gentillesse, brille le reflet des mille et une choses qui ont ponctué sa longue vie. Regard infiniment doux qu’elle porte sur les petits membres de son orphelinat, débordant de tendresse autant que ses gestes envers chacun d’entre eux. Regard-amour d’une femme qui n’a jamais cessé d’œuvrer pour les autres avant de le faire pour elle-même.

Regard que la souffrance rend soudain étrangement larmoyant.
Regard qui meurt.

Elle s’appelle Cerdiwen. Ceridwen Ellasian. Lorsqu’elle a ouvert son établissement dans un quartier mal famé d’Al-Jeit, on lui a dit qu’elle prenait de trop grands risques pour si peu de choses. Elle a répondu qu’un « si peu de choses » comme ça valait bien plus que ceux qui prétendaient le contraire. Et elle s’est installée dans ce quartier, sourde aux avertissements qui auraient dus la faire changer d’avis.

Un éclat traverse les émeraudes noyées par les larmes de la douleur.

Eclat d’amour aussi vif et sincère que celui qui a brillé dans ses yeux lorsqu’elle les a posés pour la première fois sur le petit paquet gazouillant qu’on avait laissé devant le pas de sa porte. La petite fille aux cheveux bleus est la première de ses pensionnaires. Elle lui confie un jour qu’elle n’a jamais eu d’enfants, et que si elle avait eu la chance d’avoir une fille, elle aurait eu des yeux d’or et des cheveux d’azur. Une petite fille sans nom, puisque celle-ci n’en a pas – n’en veut pas.

Regard qui se voile.
Lueur de lutte pour glaner encore quelques secondes…

Quel motif avaient ces hommes ? Aucun. Ceridwen n’a jamais été bien riche ; le mieux qu’elle pouvait faire, c’était offrir un toit, de quoi manger et un peu d’amour à des enfants dont on avait sciemment ou inconsciemment privé de tout. Elle y avait passé tout son argent et, dans les moments les plus durs, n’hésitait pas à se serrer la ceinture pour trouver de quoi s’occuper de ses petits.

C’était un moment dur. Et la fillette avait pensé, en voyant les deux hommes surgir, qu’ils venaient aider la vieille dame. L’un d’eux l’avait même prise dans les bras dans une douce étreinte. Lorsqu’il l’avait lâchée, Ceridwen s’était effondrée lourdement.
Un poignard enfoncé dans les côtes.
Regard qui appelle à l’aide.

Blottie dans son coin, la fillette aux cheveux bleus observe cette vieille femme qui se vide de son sang, incapable de comprendre que la mort n’est pas loin. Qu’elle pourrait la sauver si elle prévenait quelqu’un.

Ceridwen entrouvre les lèvres, murmure un prénom.
Voudrait murmurer un prénom. Mais la petite fille n’en a pas. Elle ne peut pas répondre à quelqu’un qui ne l’appelle pas.

Regard qui s’éteint.
Doucement.


* * * * * * * * * *

Offre-moi ton nom et ta voie.

Le jeu se poursuivait sous la lune moqueuse. Pour beaucoup, il ne s’agissait que d’une banalité des plus stupides. Le « dis-moi ton nom, je te dirais le mien » qui fait office de passe-partout, qui meuble une conversation creuse, qui sert à détourner l’attention.
Cette homme avait quelque chose en tête, mais la conversation était loin d’être creuse. Chaque parole, chaque mot avait un sens précis – un but précis : découvrir l’autre. Le comprendre. L’apprécier ?

Syndrell émit un petit rire et se redressa lentement. A son tour, elle se mit à déambuler entre les arbres, sans chercher à se rapprocher de lui. Simplement, elle marchait, silhouette à peine esquissée dans la nuit, ombre chinoise glissant dans le vent et dans les chapes de brume qui s’étiolait au-dessus du sol.


- Tu veux savoir qui je suis ? Je suis moi. Juste moi.

Elle avançait toujours, mouvement fluide et doux, humain et félin, fait de silence à peine troublé par des paroles murmurées.

- Tu veux savoir ce que je suis ? Je suis le vent qui chante dans les feuilles d’arbres. Je suis le loup qui chante la lune. Je suis la lune qui chante l’amour. Mon chemin est celui que je trace, il est celui que j’invente jour après jour et nuit après nuit ; il est la plume et moi, je suis l’encre. Il est envol et moi, je suis libre.

Il était là, il s’était arrêté. Elle le devinait dans les ténèbres insondables du bois. Et lorsqu’elle reprit la parole, ses mots devinrent souffle à peine perceptible.
Il les perçut.


- Mais, pour un compagnon, je suis Syndrell Ellasian, et je suis marchombre.

Elle s’arrêta. Leva les yeux vers son visage qu’elle ne voyait même pas. Senti son cœur s’ouvrir d’une étrange manière, comme si la vérité de ses mots était une clé qui avait ouvert une porte.

- A toi de m’offrir une voie. Une voie, et un nom…
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Erwan Narcos
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeLun 07 Juin 2010, 10:47

Je pense que tu as le niveau pour pouvoir aider au RPG ^^

Tu es donc bien prise en tant qu'Aide, bienvenue dans l'équipe !
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeLun 07 Juin 2010, 10:48

Mirki !

Je vais tâcher de remplir mon rôle alors...

*gonfle la poitrine de fierté*
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeMar 29 Juin 2010, 02:31

Pseudo : Sulla Plume

Temps à consacrer à cette aide par jour : Beaucoup de temps^^

Niveau RP estimé : Assez bon, sans être excellant. Malgré ça, je crois être capable de juger et d'aider un niveau de RP sans tenir compte du mien, et donc d’aider des gens parfois plus doué que moi.

Votre RP que vous préférez :

    Douceur des flots


    Une beauté de vie qui chavire dans un lac plus gros que la mer. Un corps, en harmonie, qui flotte, un sourire aux lèvres. De grandes vagues tentant sans réussir de la fracasser sur le rivage. Puis, une autre vague, beaucoup plus grosse. La femme ne se retourne pas. Son corps semble tomber vers l’arrière quand, tête première elle s’enfonce dans l’once. Après quelques coups de jambes, c’est une dame qui apparaît beaucoup plus loin. La femme n’en voie que la silhouette, et pourtant elle sait. Quand sa tête émerge enfin de l’eau, son souffle ne lui manque pas, pas encore. Son regard d’argent se pose sur une Al-Chen qui lui est invisible, et elle sourit.

    Alors doucement, toujours à la nage elle se rend plus loin, jusqu’à la nuit dans cette étendue céruléenne. La femme sait qu’en ce centre d’eau et de magie, les seuls humains qu’elle apercevra seront sur des bateaux. Alors son dos s’arrondit et tel une dame elle s’enfonce dans les profondeurs de la nuit. Les poissons autours d’elle la sentent, viennent se protéger des courants marins sous son ventre. Une petite grenouille se pose sur sa main et elle sourit. Son ombre ce dessine maintenant sur la berge alors que son corps se glisse souplement hors de l’eau. Ces yeux brillent alors que ses cheveux de lune miroitent sous la lumière des étoiles. Alors qu’elle semblait venir de l’autre coté complètement du lac, une grande forme noir sur quatre pattes semble l’attendre. Il n’a pas de selle mais deux sacs et une grande sacoche sont posés près d’un arbre et ce qui est un étalon semble les surveiller de près.

    La femme ouvre une sacoche et enfile des vêtements de cuir gris malgré sa peau encore humide. Elle semble avoir froid mais malgré les frissons qui la traversent elle semble heureuse d’être la. Elle retourne près du lac et remplit une gourde d’eau, puis, en retournant près de l’étalon, elle glisse les sacs à son coup et à sa taille et d’un mouvement souple elle grimpe sur la monture qui ne broncha pas. D’un mouvement du bassin elle met au pas son cheval. Le mettant alors au trot, puis au galop, elle débouche sur une large plaine d’herbe grasse. Elle sourit et lâche les épaules du puissant étalon, elle écarte ces bras de chaque coté de son corps, heureuse. Puis, un arc semble apparaître dans ces mains, mais cet arc se trouve la depuis le début, camouflé par ces vêtements.

    Un œil averti verrait bien le fin style des arcs Faël et l’équilibre de ces flèches. Elle ferme les yeux, donne son entière confiance au cheval d’Ébène. Quand elle ouvre les yeux, ils pétillent comme rarement. Elle la sent cette flèche. Elle comprend cette flèche, elle est cette flèche. Le bois, la plaine, chaque brin d’herbe, tel lui as appris son premier maître, tel elle a affiné cette caractéristique. Quand la flèche décolle de l’arc, elle écrit une trajectoire parfaite, mais si elle semble avoir visé quelque chose de particulier, elle se pose seulement dans l’herbe, beaucoup plus loin, devant l’un des rares gros roché de la plaine. Malgré la noirceur, Sulla se penche exactement au bon moment et ces doigts attrapent la flèche qu’elle a tirée alors qu’Ébène décrit de grand cercle dans la plaine.

    Puis, s’arrêtant enfin, elle ouvre un de ces sacs et dresse un camp. Creusant un trou et disposant des roches aux alentours, elle rassembla une grande bûche et du bois sec et alluma un feu. S’enroulent dans sa couverture, elle admira les étoiles pendant presque une heure avant que naturellement ces yeux se ferment pour un sommeil réparateur. Quand des images apparaissent dans son esprit, elle semble rêver éveillé, comme a son habitude. Ces yeux son fermé et elle dort mais son subconscient et son conscient semble lier, et cette communication entre les neurones habituellement inconsciemment faite était alors complètement réveillé. Et pourtant, quand Sulla se réveiller, ce n’est qu’une grande quantité de couleur qui l’éblouis sous ces paupières. Elle ne se souvenait déjà plus de son rêve.

    Quand elle ouvrit les yeux, ce fut pour les refermé aussitôt, le sourire aux lèvres. La force du soleil, même aussi tôt le matin, frappais les yeux de Sulla avec une force incroyable pour ceux yeux pâle et sensible. Elle fut pourtant rapidement sur pied et quelques exercices se firent automatiquement, étirant ces muscles aux maximums. Une simple roulade, pas très impressionnante mais douce et sereine, dénudé de tout autre sentiment. Alors doucement elle se rend à Ébène et flatte doucement son encolure. L’un de ces yeux s’ouvre et Sulla souris tendrement. Elle s’écarte et doucement le cheval se met debout. Il se met au pas, puis au trot sans s’éloigner de son maître qui finit de ranger le camp. Elle mange quelques herbes et fruits sauvage avant quand son cheval arrive, décelant sa demande avant même qu’elle ne l’est formulée. Doucement elle se glisse sur le dos de son cheval maintenant bien réveillé.

    Elle lança alors Ébène au grand galop, sans avertissement. Habituer aux vives décisions de sa cavalière, le cheval se fondit immédiatement à sa décision. Sulla se pencha sur cette bête noire en puissance, se fondit en elle. La sensation incroyable du grand galop déferla en elle. La puissance des muscles dans les épaules, la crinière volant dans le vent s’accorda avec l’endurance et les battements du cœur du cheval s’accordèrent avec ceux de la femme. Il n’y avait pas de mot, pas d’expression pour décrire la sensation. Elle sait, mais ne s'en fait pas. Elle glisse de son cheval, souris à la personne qui arrive, encore dans le mouvement du galop.

    Une union
    Au-delà des mots
    Harmonie


    Puissance de l’onde
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Erwan Narcos
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeVen 02 Juil 2010, 10:44

Tu es prise en tant qu'Aide sans hésitation ! ^^
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeVen 02 Juil 2010, 15:17

Merci beaucoup^^
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeVen 26 Nov 2010, 14:44

En bonne âme


Pseudo : Namira Terendial
Temps à consacrer à cette aide par jour : 1-2 heure(s)
Niveau RP estimé : Hmmm... Bon je pense.
Votre RP que vous préférez : Il y en a beaucoup mais l'un de mes préféré:

Tout tombe


Le soleil se lève. Il nait sur une terre hostile creusée par les larmes. L’amour s’en va, parce qu’on ne peut rien retenir. Juste le regarder partir. Il s’en fuit dans des cris qu’on ne contrôle plus. Le temps voudrait pouvoir l’effacer, mais contre un géant de papier il n’est rien. La nuit c’est enfuit dans l’âme d’un pauvre être. Priant pour qu’on lui accorde une trêve, que tout s’arrête. Que tout revienne. Mais, tout, vraiment tout, tombe. La lune est morte sur le parterre d’un ange, elle a fait son salue au monde du désarroi. Elle doit exorciser ce qui la tient prisonnière. Cette lune peu meurtrière, mais sauvagement fière. Elle se lève et demande qu’on l’admire, elle apprend à donner ses péchés à des autres. Ces autres qui n’ont pas choisit de vivre. Ces autres qui se font entre eux pitié. Avoir pitié d’un de nos semblables. Sa ne le sauve pas. Sa le rabaisse. L’homme regarde les autres en se rassurant. Il y a pire que moi. Il se regarde. Son ventre va bien, alors celui des autres aussi. Egoïste. Et pourtant si seul. S’il levait le nez un instant pour pouvoir être un autre. L’homme s’abandonne à sa vision des légendes, il n’y plus que ça à faire. Car il déteste pleurer. Pleurer. Dans quel monde on nous a envoyé ? Ce monde qui n’est pas le miens, ce monde qui t’appartiens. Dans quel monde t’ai-je envoyé ? C’est tellement de voir la lumière et d’en revenir. On dit que l’homme est innocent malgré des preuves accablantes. Il nous sourit juste. C’est juste pour vous dire dans quel monde nous sommes. Si c’est bien vrai que personne ne veut de toi, alors tu devras baisser les bras. Laisser. Parler. Ton. Cœur. Il est à toi, tu le serres contre ton petit corps d’enfant. Dans quel monde viens-tu de naitre ? Toi qui n’as rien demandé, toi qui incarne l’innocence même. Pourras-tu pardonner cet homme qui t’as fait venir ici ? Il t’a prit par les mains t’as tiré vers la lumière. Cette lumière absente. Cette lumière noire. Qu’est-ce que la terre peut-bien faire d’un ange qui a perdu ses ailes ? Tu voudras sourire. Parce que c’est beau la vie. Tu oublieras bien vite le prénom de tes joailliers, tu en feras des Dieux. Parce que c’est ce qu’on t’apprend. Tu n’as rien demandé à personne, juste d’être tranquille. C’est un idiot qui vient te voir les fleurs à la main. En te disant qu’il t’a attendu tout les matins. Que dois-tu faire de lui. L’appeler comme un nom. L’appeler comme un con. L’appeler comment ? Et toi, et toi tu qui n’es plus vraiment toi, tu regardes le ciel une larme dans les yeux. Tes larmes auront creusé les rides de ta vie. Tu prieras ce Dieu pour qu’il te ramène à lui. Tu maudiras cet homme, qui t’as fait naitre aujourd’hui.


« Il existe un monde. Pas un monde comme le notre. Un monde où les hommes et les femmes sont sur le même pied d’égalité. Un monde qui se cache sous nos terres, et pour le découvrir il n’y a qu’une seule solution : raser le monde entier. Ceux qui vivront seront les élus. Ils s’élèveront plus haut que leurs ancêtres. Ils aimeront enfin la vie qu’on leur donne. Une seconde chance. Il n’existe pas d’autre issue que celle-ci. Mais je sais bien que l’homme ne se sacrifiera pas. L’homme est impur. L’homme est salit par ces années d’errance ».


La philosophie est une chose que trop d’hommes prennent à la légère. Ils ne comprennent plus cet art, qu’ils vivent pourtant tous les jours. Pour eux les mots ne sont que des mots, le vent n’est que de l’air, la vie n’est qu’une pièce. L’homme aime un silence sans nom. Un silence qui n’est même plus silence car il pense. Le silence devrait être pur et sans idées. Le silence devrait être comme on l’appelle. Un silence. On considère souvent qu’un silence est long aussi, mais l’homme parle pour combler ce silence. Alors que la meilleure chose à faire est de se taire. « De ceux qui ne savent pas quoi dire, je préfère avoir ceux qui se taisent. » Namira était tombée dans un grand bac. Certain l’appelle Bac à sable, d’autre bac à idée ou encore bac de rien du tout. Elle souriait, parce qu’elle ne voulait plus pleurer de cette majorité grandissante qui opprime la liberté. Elle était devenue ce que personne ne voulait qu’elle soit. Une philosophe. Cependant elle se sentait mal dans son être. Sa moitié de cœur lui demandait pourquoi ? Et pendant de nombreuses années elle avait simplement répondu : Parce que. Alors que la question n’était pas là. Elle avait mal, d’un mal qu’elle ne connaissait que trop bien. Ce manque de liberté. Bien qu’elle aille ou elle voulait quand elle le souhaitait, la liberté n’était pas là. Elle la fuyait sans cesse, même dans ses appels, dans ses cris, dans ses espoirs, elle ne revenait pas. Namira pensait, dans un silence, qu’elle ne trouverait jamais la liberté suprême. Cette liberté qui grandit dans son cœur, comme une femme à l’appel d’un homme. Il ne faut jamais dire jamais. Son chemin croisa celui d’un marchombre. Sa vie changea de sens. Son monde se tordit tel un vulgaire torchon, ses principes se brisèrent, son cœur trouva l’harmonie. Son cœur ne lui faisait plus mal. Elle commençait à sourire vraiment, parce qu’elle se sentait bien. Parce qu’elle voulait enfin vivre une vie. Sa vie. Son maître lui apprenait jour après jour à devenir celle qu’elle voulait devenir. Une fille de la liberté, femme de l’amour, femme du toujours. Dans son avenir elle voyait quelque trait partir de son visage, des traits qui traceraient sa vie entière. La liberté tisserait pour elle un manteau de fourrure, qu’elle pourrait mettre sur elle quand elle aurait peur. Namira voulait que sa vie respire toutes les couleurs d’un arc-en-ciel. Elle rêvait de tuer les étoiles et de lui offrir avec de beaux sourires. De vrais sourires. Elle devenait elle, elle devenait sereine, et elle ne se mentait plus. Aucune barrière ne masquait son visage blanchit. Elle était immensément belle. Elle était immensément celle qu’elle avait espérée.

Ses grands yeux azurs se posèrent sur cette immense montagne de glace. Elle était déjà venue. Elle avait regardé d’en bas ce géant de cristal. Namira n’avait pas osé y monter, elle ne connaissait rien à l’escalade. Aujourd’hui en revanche, même s’il elle n’avait pas encore monté une seule paroi de sa vie elle avait décidé de l’escalader. Peut-être qu’elle ne redescendrait jamais, peut-être qu’elle fera demi tour en ayant touché le glacier éternel. Elle était partie de l’académie en confiant Zoran à son propre instinct. Elle l’emmenait partout avec elle mais là, elle ne voulait pas qu’il lui arrive quelque chose. Elle avait prit un cheval au hasard dans l’écurie, et elle était partie en laissant sur son lit un mot pour son maître. Son maître car elle l’aimait plus que tout. Lohan. « Je ne suis pas loin de toi, je reviendrai vite. » Puis elle était partie loin de son monde. Elle avait vu des paysages qu’elle avait déjà parcourus. Elle se sentait nostalgique. Prête, si proche de son objectif. Elle frissonna, l’air se faisait de plus en plus froid. Namira voulait aussi se prouver à elle-même qu’elle n’était pas qu’une simple marionnette. Elle aussi pouvait grandir au fil des jours sans pour autant faire abstraction de ses sentiments. En arrivant au pied de la montagne. Gigantesque morceau de roche, elle souffla. « Enfin. » Sans plus attendre elle confia son cheval à un paysan qui ria en lui disant qu’une autre femme était venue lui poser elle aussi son cheval quelque heures avant elle. Namira le questionna mais l’homme se contenta de lui dire que cette autre femme avait les cheveux bleus, puis il s’en alla. Namira regarda le soleil, il allait bientôt se coucher. Alors elle s’installa sous un arbre et s’enroula dans la fine couverture qu’elle avait soigneusement pliée dans son sac. Vraiment trop fine d’ailleurs. La nuit passa sans qu’elle ait le temps de rêver. Une petite bestiole vint la tirer de son sommeil alors que le soleil n’était pas encore levé. Namira s’étira longuement, il n’était pas encore là mais l’aurore faisait bien son travail. Elle remballa tous son attirail et s’en alla pour débuter son ascension. La paroi du glacier n’était complètement lisse, c’est seulement plus haut que Namira utiliserait ses pitons. Elle s’était menti, elle savait grimper une montagne. Bien que ses premiers gestes furent maladroits presque mortels elle commença à prendre un rythme soutenu. Puis, elle arriva à un renfoncement. Là il y avait. Une femme. Namira faillit tomber en arrière quand elle vit l’inconnue. Elle se rattrapa in extrémiste au rebord de la falaise. Son cœur battait très fort. Ce que dégageait l’inconnue, elle le connaissait bien. Un aura plus puissant que le siens. Une aura marchombre. Elle s’accorda une minute de pause en rivant ses yeux sur le sol. Elle aurait le temps de la regarder plus tard.

-Je ne m’attendais vraiment pas à croiser quelqu’un si près du ciel.
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeMar 14 Déc 2010, 17:35

Pseudo : Ange Shar
Temps à consacrer à cette aide par jour : 1h
Niveau RP estimé : Bon, ou au moins Moyen-Bon.
Votre RP que vous préférez : C'est pas un RP mythique mais j'espère que ça suffire, sinon il y la topic "L'envol" à Al-Jeit qui peut vous donner une autre idée.
Spoiler:
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Erwan Narcos
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeVen 14 Jan 2011, 16:48

Namira : je préfèrerai que tu te penches plus sur les RPs de ton Maître plutôt que de faire une aide...

Ange : Tu es prise sans problème, merci de ta proposition ^^
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeLun 09 Jan 2012, 14:01

Pseudo : Alexanor Aleiryn'Ar
Temps à consacrer à cette aide par jour : Je suis un peu magicienne, je sais me créer du temps. La fréquence de mon élève sera la mienne. En absolu, no limit le week-end et jusqu'à quatre heures par jour en semaine.
Niveau RP estimé : J'écris peu, comme vous pourrez le constater dès que j'aurai commencé à jouer ici. Cependant, quand un RP me plait, je peux y passer beaucoup de temps et m'adapter plutôt bien au style de mon partenaire. J'aime que chaque mot ait un sens, que toute phrase traduise une émotion. Si je suis prise, je serai probablement une tutrice assez sévère d'ailleurs ! Donc... à vous de juger ?
Votre RP que vous préférez : Tiré du forum WoltaRP que j'ai co-créé. Les personnages sont des humanoïdes félins (ça se dit ça ?), les woltariens. Il y a quelques mots de vocabulaire importé mais ça ne devrait pas vous embêter.

    - Didi, Didi !

    Les yeux embués, les joues noyées de larmes, le tout petit woltarien grimpa à quatre pattes les mille marches du majestueux escalier. Mieux qu’une simple construction architecturale, l’escalier du chalet véséen était un véritable membre de la maisonnée. Tel un mentor, il portait sur son flan toute l’histoire de la famille. Joseph y avait exposé dans des cadres ostentatoires les plus beaux clichés de feue son épouse et de leur fils. Le petit n’y avait jamais réellement porté attention et n’avait encore moins reconnu sa propre mère dans les traits fins et raffinés de la digne woltarienne. Il était toujours inconscient de son origine et aurait été des premiers à poser la bête questions :
    " Dis papa, comment on fait les woltarions ? "

    Tout essoufflé, Jay parvint au troisième et dernier étage du chalet. L’escalier, perpendiculaire à un long couloir exigu, donnait directement sur la chambre bleue ciel du petit. Il y entra en trombe, se jeta sur son lit et serra contre son cœur le-dit Didi* : un Jellyrafe en mousse, d’une douceur incomparable. Il ne savait pas, et ne sut probablement jamais, que la peluche lui venait de sa mère et qu’elle avait été achetée à Tegdij, ville natale de Sissy. Depuis toujours, Didi était le compagnon de jeu favoris de Jay, aussi bien le jour que la nuit, comblant les longs temps d’attentes matinales par de philosophiques réflexions, la plupart du temps en rapport avec leurs confiseries préférées.

    Sous le matelas, en soulevant quelques lattes, Jay avait découvert une cachette idéale pour des sucreries, chipées à la cuisine en l’absence de son père. S’il partait souvent à la découverte de la ville, Joseph ne quittait jamais le logis avant d’avoir embrassé son fils et de lui avoir communiqué le moment de son retour. C’est pour cette raison que le petit s’inquiétait follement. Son anxiété lui servit d’excuse pour dévorer toute les réserves de sucre... ce qui n’eut qu’un court effet sur son moral. Une expédition vers la cuisine s’avérait donc indispensable - mais l’énergie et la motivation manquait à l’appel. Totalement épuisé, Jay s’effondra sur son oreiller, ferma les paupières et s’endormit immédiatement.

    La pauvre peluche jaune, suivant le geste du woltarion, chut derrière le lit et se défit d’un œil de verre. Assurément, sa présence contre le poitrail de Jay, chaque nuit, devait avoir une action apaisante car ce matin là, le woltarion subit son premier cauchemar...

    Il escaladait le mont Kariboo. Petite puce sur un cheveux sans fin... Ses prises régulières assuraient une épreuve en toute sécurité. Il regardait le sommet du pic avec détermination, persuadé qu’il arriverait à l’atteindre avant la nuit. Son espoir vola en éclats lorsqu’il s’aperçut que le jour déclinait à vue d’œil, d’une vitesse inquiétante d’ailleurs... Élément déclencheur, la fatigue le prit sous son aile, une fois les deux astres lumineux entièrement dissimulés, et s’amusa avec ses doigts, ses pieds, jusqu’à ce qu’il trébuche. La chute type dans le vide provoqua le réveil brutal du petit woltarien et le retour de ses chaudes larmes, sans qu’il n’ait eu le temps de se remémorer la cause de sa tristesse. Dans la réalité aussi, Pala-sol et Pala-plui s’étaient dit bonne nuit.

    Machinalement, il souleva le matelas, déplaça deux lattes et lâcha une plainte douloureuse. La cachette à bonbons était bel et bien vide... Le ventre plus creux que jamais, l’âme en peine, Jay quitta la pièce. Il ne savait pas alors qu’il en sortait pour la dernière fois, abandonnant derrière lui le pauvre Jellyrafe en mousse... dont il avait totalement oublié l’existence, la faim l’obnubilant tout à fait. C’est donc au pas de course qu’il dévala à nouveau le mentor de bois à la rampe d’acier pour se retrouver dans le hall. Face à la colossale porte d’entrée, Jay éprouva pour la première fois le désire ardent de s’évader. Son premier objectif serait à coup sûr d’escalader le... Mieux valait ne plus y penser.

    Ainsi, debout seul au milieu d’une cuisine déserte, Jay dévalisa les placards de tout ce qu’ils pouvaient contenir de comestible et déposa tout, en vrac, sur la large table. Pour la première fois, il n’éprouvait aucune crainte à fouiller la maison de son papa. Il ne se gêna donc pas à ouvrir tout ce qu’il pouvait, jusqu’à la malle aux boissons, strictement défendue. Émerveillé et impressionné tout à la fois, il saisit une bouteille de vodkrabisse tel Ali Baba dans la caverne. Timidement, soudain plus craintif de la boisson que d’un éventuel retour inopiné de son père, il arracha le bouchon et approcha doucement le goulot de sa toute petite bouche.

    On frappa à la porte. Sous la surprise, Jay renversa l’équivalent de trois verres sur son sweat kaki et inonda son joli visage. Les yeux clos, il posa prudemment la bouteille à côté de la malle et s’enfuit de cacher derrière le bar. D’un geste presque professionnel, il retira son sweat et s’en servit pour s’essuyer la face. On frappa à nouveau. Le petit, persuadé que son père était de retour, se sentait partagé entre la joie et l’affolement : toute la nourriture était restée sur la table et la malle aux boissons était encore largement ouverte. Afin d’éviter au mieux les réprimandes, Jay se s’élança vers la porte, en pleurs, bafouillant de plates excuse et mouillant des jambes trop longues pour être celles de Joseph...

* Didi : du chinois dìdì qui signifie “ petit frère “
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Erwan Narcos
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeLun 09 Jan 2012, 14:55

Pour moi il n'y a aucun problème à te prendre en Aide ! C'est donc chose faite ^^
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeLun 09 Jan 2012, 15:23

Merci ! Je fais mes preuves à la prochaine inscription.
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Erwan Narcos
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeVen 19 Oct 2012, 11:44



Nous sommes toujours activement à la recherche d'Aides au RPG !
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Rilend Ansakh
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MessageSujet: Re: Recrutement d'Aides au RPG   Recrutement d'Aides au RPG Icon_minitimeMer 16 Oct 2013, 19:18

Pseudo : Rilend Ansakh
Temps à consacrer à cette aide par jour : 10-20 min par soir, mais ça varie selon les soirs (et les conférences^^)
Niveau RP estimé : Très bon. Enfin, c'est ce qu'on me dit.
Votre RP que vous préférez :  
Rilend, à pas lents, s'avança dans les travées des écuries, retrouvant des sensations oubliées. Elle, qui n'avait jamais eu un contact vraiment fort avec les chevaux puisque, gamine des rues, elle n'avait pas pu apprendre à les chevaucher, sentait que ces bêtes étaient désormais inextricablement liées à sa personnalité. C'était sur un cheval qu'elle avait compris le concept de temps, et elle avait passé des heures sur le dos de Roméo, à tourner, pour essayer de toucher une souche immobile mais récalcitrante. C'était à cheval qu'elle avait peu à peu repris confiance grâce à la douceur et la patience de Yann, à cheval qu'ils avaient parlé, qu'ils avaient parfois dépassé les frontières de la simple amitié. Dans l'écurie, avant de revenir vers sa vie d'avant, elle lui avait fait ses adieux. Dans l'écurie, elle s'était souvenue de qui elle était.

Le cheval était passé pour elle de grande créature imposante et chevauché par des guerriers confondant à tort leur virilité avec celle de leur étalon, à guide, comme un esprit familier qui apparaît et marque les moments importants d'une existence. C'est pourquoi la vision des écuries, de tous ces dos lisses et luisants dont les propriétaires étaient occupés à fouiller la paille, l'apaisait. Tandis que Rilend avançait, elle sentit la panthère dresser les oreilles, sa vigilance éveillée un instant, puis s'apaiser : le fauve avait compris que le cheval ne devait pas être une proie pour elle, et elle faisait cette faveur à l'humaine en échange de nuits de chasse.

Libertée savait-elle que Rilend était plus qu'en partie animale ? L'idée traversa l'esprit de la jeune femme, la crispa un moment...il lui faudrait trouver un jour pour en parler à son maître, ou une excuse pour justifier ses parties de chasse nocturnes. Si Libertée lui plaisait, la jeune femme ne se sentait pas encore capable de lui accorder ce degré de confiance, de lui confier ce qui avait autrefois été un secret honteux et terrifiant pour elle.

Les équidés, alertés par les pas et espérant la pitance journalière, avaient levé la tête et leurs yeux bruns, rayés d'une prunelle horizontale, suivaient maintenant chacun des déplacements de la jeune femme qui esquissa un sourire. Elle apprenait peu à peu, elle qui était prédatrice plutôt que proie, à aimer ces sympathiques herbivores, à goûter la régularité de leurs traits et de leur corps ciselé, le soyeux de leurs robes, leur odeur certes pas suave mais néanmoins plaisante ou leur regard, toujours doux et souvent paisible, ombré de cils plus longs que ceux d'une femme. Ce regard pensif, paraissant parfois triste, que les animaux posaient maintenant sur elle.

Elle s'arrêta avant de s'engager entre les boxes. Ferma les yeux. Prit une légère inspiration, se détendit et essaye de percevoir les sons, les mouvements, la chaleur, les odeurs des animaux, essaye de sentir chaque animal distinctement. Oh, elle n'y parvint pas tout à fait, mais elle put néanmoins s'aventurer entre les boxes et dévisager chacun des animaux, un léger sourire aux lèvres. La myriade de robes brillait au soleil, et quand Rilend atteignit le fond de l'écurie, après avoir observé chacun des animaux, elle ferma de nouveau les yeux et cette fois-ci, elle essaya, juste pour voir, juste pour essayer, de parcourir la travée les yeux clos. Elle percevait la présence des chevaux autour d'elle tandis qu'elle avançait à pas lents, sentait des souffles chauds et des museaux curieux qui effleuraient son corps...souriait.

Sans trop réfléchir, sans trop comprendre pourquoi non plus, elle se retrouva soudain immobile et face à un animal curieux qui, aimablement, tentait de lui faire les poches. Rilend rouvrit les yeux et son regard gris croisa un immense œil brun, piqueté d'ombre et de lumière, encadré de cils roux et d'un pelage d'écureuil. Un petit hongre alezan la dévisageait avec curiosité, étonné par cette humaine qui se promenait les yeux fermés. La surprise de l'animal ne dura pas longtemps puisqu'il tendit de nouveau le cou pour quémander une friandise. Apparemment déçu de ne rien rencontrer, il remonta jusqu'aux mains de Rilend qu'un souffle chaud chatouilla, avec ce son particulier du cheval qui fait connaissance. La jeune femme mit ses mains en coupe et laissa l'animal plonger son museau dedans, puis remonta gentiment jusqu'à la joue, en parlant au cheval d'une voix que, naturellement, elle abaissait jusqu'à ce qu'elle en devienne grave et bourdonnante. Puis elle lut le nom de la bête sur la porte.
Roméo.

Un sourire chatouilla les lèvres de Rilend tandis qu'elle susurrait au cheval :

« Hé bien, on se connaît, mon gars. »

Elle avait repéré en entrant l'organisation de la sellerie, qui n'avait pas changé, et les réflexes revenaient doucement ; elle sut, certes lentement, seller son cheval et l'enfourcher devant l'écurie. Roméo, toujours gentil, semblait plein d'allant et prêt à se mettre en route. Quand il avança, le bassin de Rilend suivit le mouvement, d'abord avec un peu de retard et d'appréhension, puis, la jeune femme se concentrant, avec souplesse.

******

De plus en plus à l'aise et presque rassurée, Rilend laissait désormais les rênes flotter sur l'encolure de Roméo et ses reins l'accompagner souplement, dans ce mouvement régulier et presque sensuel du cavalier sur son cheval. Il fallait dire que Libertée l'avait bien aidée à se mettre à l'aise, parlant beaucoup, de tout, de rien, surtout de tout. Fait étonnant, alors que Rilend était d'un naturel discret, l'enthousiasme et la loquacité du maître étaient contagieux, et la jeune femme répondait avec entrain à sa compagne de route, même si un dernier fond de timidité la rendait prudente dans certaines réponses. Quand Libertée fit mine de se plaindre de la lenteur de leur pas, Rilend se composa une mine outragée :

« Dis tout de suite que je te ralentis ! »

Puis elle hocha la tête et pressa les mollets autour des flancs de Roméo qui, réveillé, prit le petit trot confortable dont Rilend se souvenait. Le hongre alezan se comportait à merveille, avec une gentillesse à nulle autre pareille, et il avait presque chassé les appréhensions de sa cavalière. Etonnant, quand on savait que Rilend était tombée de ce même cheval quelques mois auparavant...
Libertée abordait un nouveau sujet, autrement plus sérieux, et Rilend prit le temps de réfléchir avant d'y répondre, fouillant dans sa mémoire. Puis, elle avança lentement, pesant chaque mot :

« Erwan m'avait parlé...de l'Oulan-Kil, oui, il me semble qu'il l'avait mentionné...mais il ne m'avait pas vraiment éclairée plus que cela sur le sujet, il avait juste précisé que c'était le prochain examen que je passerai. Mais l'autre sujet...non. La greffe, c'est ça ? Qu'est-ce donc ? »


Sa curiosité éveillée, elle pressa à nouveau les flancs de Roméo pour que le petit hongre, qui traînassait un peu, revienne au niveau de la marchombre, et riva un regard vif et attentif sur son nouveau maître.
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