amitié et raïs au menu(PV Céraina)

Invité

]Léna marchait, et seul le bruit qu’elle faisait troublait le silence. Léna marchait. Depuis déjà plusieurs heures elle avait laissé derrière elle le dernier hameau ou quelques familles essayaient de survivre. Léna avait légèrement souri à leur vu. Sourire amer. Non pas que la misère d’autrui lui plaisait, non, se qui l’amusait c’était surtout que ces personnes n’avait pas donné de sens a leur vie, il essayé juste de ne pas mourir. Elle était loin d’eux maintenant autant en km que dans l’esprit. Oui maintenant elle commençait à percevoir la vie d’une autre façon même si elle doutait encore trop beaucoup trop. A un tel point qu’elle n’en avait elle-même pas conscience.
C’était la première fois qu’elle voyageait si loin depuis qu’elle avait découvert l’académie et elle profitait. Certes l’académie n’était pas comme elle l’avait craint mais voyager seule lui procurait énormément de plaisir. Oui, voir le soleil qui était déjà au 2 tiers de sa course et entendre le vent qui lui ébouriffait les cheveux, sentir l’odeur des pins étaient des plaisirs que l’on ne peut que percevoir et profiter seule.
Peu de choses se partagent.
Léna marchait et rêvait en même temps alors quand les cris et les mugissements retentir il lui fallut quelques secondes pour reprendre ses esprits et comprendre le spectacle qui s’ouvrait à ses yeux. Devant elle un groupe de raïs courait dans sa direction. Léna n’avait jamais appréciait les raïs qui d’ailleurs les aimait ?
Les raïs étaient plus grand quelle, plus fort et nettement plus nombreux. Ils étaient huit. Un raïs Léna l’aurait battu sans problème, trois à la rigueur mais huit elle n’y réchapperait pas. Léna connaissait bien les poisons et elle en avait justement beaucoup sur elle mais un raïs n’est pas comme un humain ils n’ont pas le même organisme. Le voyage qui devait lui apprendre lesquels poisons pouvaient porter préjudices à un raïs avait était interrompu par l’arrivé de Lanza et par la faute d’un raïs, aussi. Léna n’avait encore jamais regretté que ce voyage n’est pas eu lieu mais aujourd’hui si et même beaucoup. Léna ne pouvait pas fuir voyant la vitesse auquel les raïs avançaient. Si elle avait eu un cheval les choses aurait était différente ce n’était pas le cas.
Elle avait besoin d’aide, et vite.
Malgré elle elle cria
-Y a quelqu'un qui peut m'aider
Pathétique.

Invité

Elle marchait doucement , ses pieds étaient froids . Mais pourtant , Céraina avançait quand même , bravant la neige pour atteindre son but . Mais qu'est ce que c'était son but ? Elle ne le savait pas elle même alors qui le saurait ? Personne sans doutes .Mais au bout d'un certain moment , alors qu'elle avait envie de s'arrèter elle entendit un cri .

-Y a quelqu'un qui peut m'aider ?

Motivée par cet appel au secours , la future marchombre se mit à courir en vers la source du son . Rapidement , elle allongeait ses pas , tout en essayant de ne pas tomber dans la neige fraiche qui s'étendait au déla des collines visibles . Et c'est là qu'elle aperçut une silhouette . Une forme féminine commençait à se battre , entourée de Raïs . Sans plus réfléchir , Céraina s'élança pour l'aider . Elle sortit son couteau et commença elle aussi le massacre . Quand , il ne resta plus qu'un raïs , la jeune femme se tourna vers l'inconnue . Elles étaient saines et sauves . Et d'ailleurs , Céraina ne put s'empécher d'admirer l'inconnue qui venait de tuer plus de 4 raïs à peine aidée par la future marchombre . S'approchant doucement , elle se mit à parler .

- Qui es tu ?

Céraina attendait patiemment la réponse de l'inconnue . Mais que fait-elle ici ? Après tout , il ne se passe pas grand chose sur les Frontière de Glaces .

Invité

En cet instant l’honneur de Léna ne vaut pas grand-chose pour la simple raison quelle était (presque) tous sauf une personne qui est prête à se suicider pour les autres. Elle en était même l’opposés, et pour dire la vérité elle aurait largement préférée se trouver ailleurs que ici même si elle savait que les habitants des villages ne réchapperais pas à une attaque de 8 raïs et que si elle en tuait un ou deux peut être trois sa pourrais les aider. Oui elle préférée vivre et voir 20 personnes tués que de mourir est d’en sauvé le quart. Quand je vous dis qu’elle à pas le cœur noble il faut me croire. Si elle n’avait pas fui c’était parce qu’elle savait que les raïs là rattraperais. Alors après avoir lancé sa phrase ridicule, elle s’apprêta à combattre.

Le premier Raï arriva, il n’avait qu’un seul objectif : la tuer, tuer cette chose ridicule qui barrait son chemin. Il fut bien reçu. Il était vêtu d’une armure lourde qui ne lui protégeait ni la tète car il portait un casque ni le cou et c’est la ou ça devenait intéressant. Le Raï leva sa massue et frappa, mais vive comme une flèche Léna c’était projeter au sol et passant entre les jambes de son adversaire elle se releva d’un bon, elle dégaina son épée et lui coupa la gorge. Pas le temps de faire un travail soigné, le sang l’éclabousse copieusement et son sarouel se retrouva rouge, elle devrait s’en acheter un autre si elle survie.

Avant qu’elle n’est pu finir son œuvre d’autre raïs arrivèrent. Évitant une lame qui fusa vers elle planta son épée entre les artères d’un des raïs et sans plus s’occuper de sa victime elle se concentra sur les 6 autres. Léna avait beau être rapide elle ne put éviter tous les coups qui lui pleuvait dessus et de fines blessures apparurent sur son corps. Avec sa main libre elle frappa, à la hauteur des côtes flottantes, le raïs lâchant son arme pour tenter en un geste dérisoire de se protéger même si il l’était plus avec son sabre reçut un coup sur la nuque se qui le fit passer de vie à trépas.

Pathétique et ridicule peut être mais efficace. Quelqu’un avait répondu à son appel et se précipita vers le lieu du combat. Son partenaire sortit un large couteau, se combat ne serait donc qu’une boucherie mais c’était mieux que de mourir. Léna vit que la jeune fille qui l’aidé était une combattante chevronné, car même si elle prenait du temps à tuer un raïs, aucun coup ne l’atteignait et malgré son couteau ses gestes était empreint de grâce et de précision. Mais observer son partenaire ne lui valut qu’une blessure en plus, plus profonde que les autres. Ce n’est pas le moment de regarder les autres se battre se sermonna telle mais de se concentrait sur son propre combat. Les raïs désordonné par cette nouvelle arrivé lâchèrent un peu la pression sur elle et elle put se concentrait sur le raïs qui penser pouvoir l’abattre rapidement. Mal lui en pris il se retrouva à terre en moins de deux car la colère avait décuplait les forces de Léna et c’est avec un plaisir sadique qu’elle le tua.

Il ne restait plus qu’un raï et Léna le mit rapidement à terre, elle en avait besoin pour savoir avec qu’elle poison elle pouvait le tuer. Et même si le nombre de sujet de ses expériences étaient limités elle voulait quand même le faire. C’est pourquoi il lui fallut quelques secondes pour comprendre qu’on lui avait posé une question.

- Qui es tu ?

Léna se retourna un peu énervée que on l’interrompe puis se souvenant qu’elle lui devait la vie elle répondit avec légèreté :

-Je m’appelle Léna si c’est ce que tu veux savoir.

Invité

Céraina avais tuer peut être un rais mais elle était fier d'elle , son beau découpage lui plaisais.Elle regardais bien autour d'elle pour voir s'il y avait encore des rais et elle était aussi béa devant Léna elle venait de tuer 7 rais en quelques minutes ! , pas très rassurer Céraina s'avança sens plus attendre vers cette fille Léna et lui demanda :

Moi c'est Céraina , Céraina Zérant , et toi c'est Léna ? que fait tu ici ?

Céraina se mis bien près de Léna a peur de voir encore 8 rais ou plus venir en troupe vers elle.
Elle ne savais pas trop quoi dire,e ni quoi faire car Léna ne sembler pas très bavarde , et elle n'avait pas la tête a rire . Céraina faisais une tête un peu bizarre ...

Moi je suis la pour retrouver mon père ... et je suis la aussi pour devenir marchombre

Céraina se mis assise par -terre et attendis la réponse de Léna .Fatigué , n'étend même pas sur de vouloir retrouver son père car elle se disais ... est ce que lui veut me retrouver ? mais la seul cause qui lui disais de continuer s'était sa mère elle comptait sur elle ! et aussi Céraina penser peut être et t-il parti ou peut être enlevé !

Invité

Son test était mort, tué par de l'arsenic.
Moins résistant qu'elle ne le pensé le raïs.
Bon au moins ça régler l'affaire.

C'est justement après que cette "affaire" fut régler qu'elle revient totalement à la réalité, elle n'aurait peut-être d'ailleurs pas dut:
La douleur qu'elle avait jusqu'alors oublié revient infinie, insupportable, inacceptable.
Des larmes de douleur coulèrent sur son visage et c'est avec beaucoup de peine qu'elle se retient de crier.
Elle ne supporter déjà pas de pleurer en public alors exprimer ça douleur surtout pas.
Elle rechercha en mouvement fébrile et peu précis sa gourde qu'elle but et renversa sur ses blessures autant qu'elle renversa à coté. Mais la douleur restait et le sang continué à couler et à se répandre autour d'elle comme un immense lac rouge qui regagnait lentement la rivière qui coulait près d'elle.

Oubliant qu'elle n'était pas seule elle essaya temps bien que mal de rejoindre le ruisseau et de nettoyé ses plais avant de les recoudre. C'était sa blessure à la jambe qui l'inquiétait car elle savait qu'elle allait bientôt s'évanouir et que si elle ne recousait pas rapidement cette blessure elle passerais de vie à trépas avant qu'elle n'est eu le temps de revenir à elle.

Sortant son fil et son aiguille elle recousit grossièrement sa plaie a travers ses larmes et même si le sang coulait encore il été moins important qu'avant.
Mais ses autres blessures saignaient et quand elle s'apprêta à les soignés elle s'endormit involontairement rejoignant les étoiles.

(désolé très mal formulé et peu créatif mais mon temps est limité)

Invité

Céraina était un peu furieuse quand elle vu qu'on ne lui répondit pas.
Mais elle vu cette raison elle avait vu des larmes couler , et le sang.
Céraina penser sa va me faire vomir ,puis quand elle vu
Léna se recoudre comme sa elle pleurer presque
a sa place ...
Céraina vu qu'elle s'évanouit et elle pensa a chercher un médecin,
mais si jamais il arriver quelque chose a Léna ?
Alors Céraina secoua Léna et dit :

LENA tu es la ? tu m'entend ? debout Léna aller reveille toi
Céraina disa sa toute en pleurent et se dit si je trouver en chariot ?
je pourrais la mettre dedant et aller chercher de l'aide
mais y a t-il des gens ici ? Céraina regarda Léna en pleurent et atttenda sa réponse

Invité

-Rejoint nous Léna, rejoints nous Léna!

-Ou?

-Au royaume des morts.

-Pourquoi?

-On est bien ici, tu verras tu feras ce que tu voudras et tu ne souffriras plus jamais

C'est vrai qu'elle avait mal, très mal, tous sont corps était fournaise. Elle ne voulait plus souffrir, elle ne voulait plus réfléchir, elle ne voulait plus rien sauf que la douleur cesse. Elle allait les rejoindre, ses êtres flous, d'un blanc très pale qui lui tendait les bras. Elle les saisissait quand un détail lui revient en mémoire.

-Mais, et la Voie des marchombre?

-La voie n'est qu'un tissu d'ânerie, viens ici tu seras vraiment libre tu n'auras pas besoin de te raccrocher à des choses fausses

C'était faux, ils racontaient n'importe quoi. Mourir ne servait à rien elle allait devenir marchombre, elle allait enfin vivre sa vie, elle parlerait aux étoiles, chevaucherait la brume et elle volerait, toujours plus loin oubliant les limites, les barrières. Oui, il fallait qu'elle se dégage, qu'elle quitte leurs bras, mais elle n'y arrivait pas, ils la tenaient fermement et ne voulais pas la laissait libre.

-Lâchez moi, je veux vivre!

Des rires sordides résonnèrent dans ses oreilles.

-Ça ne sert à rien tu perds tes souvenirs tu va oublier la vie et aimé la mort. Tu ne peux pas nous résistait!

C'est vrai qu'elle ne se souvenait de rien. Qui était-elle. Pourquoi voulait-elle vivre déjà, elle ne le savait plus. Que venait-elle de penser? Elle ne pouvait rien, elle était en leur pouvoir, elle oubliait tous.

-LENA tu es la ? Tu m'entends ? Debout Léna aller réveille toi !

Si, elle se souvenait! Elle était Léna et elle voulait devenir marchombre et dans la vie quelqu’un l’attendait, elle avait commencé à discuter elle n’avait pas fini, le travail non fait elle n’aimait pas. Puissant dans ses forces nouvelles elle réussit à se libérer des mains qui l’agrippais et qui l’emmener au enfer. Elle voulait vivre et seul ça contait. La vie triompherait de la mort, tant qu’on voulait vivre. Ainsi était et serais, à jamais.

La lumière d’abord, l’obligeant à fermer les yeux. Éblouissante et merveilleuse, le retour vers la vie, vers la vérité. La douleur ensuite, Cruel et horrible mais qu’elle prenait comme le doux retour à la réalité. Et enfin un visage, penché sur elle et dont les larmes qui fusait de ses yeux venait coulait sur son visage se mêlant à ses propres larmes de douleur et de joie.

Se relevant avec peine, elle finit de bander ses blessures cela ne lui pris pas longtemps et quand elle regarda la dénommait Céraina un sourire illuminait son visage. Seul présent qu’elle pouvait faire à la vie de l’accepter à nouveau.

Le choc et la douleur lui avait fait quelque peux oublier se que Céraina lui avait dit avant qu’elle s’évanouisse mais après avoir recherché dans sa mémoire les souvenir lui revinrent.

-Moi c'est Céraina, Céraina Zérant, et toi c'est Léna ? Que fais-tu ici ?

-Moi je suis la pour retrouver mon père ... et je suis la aussi pour devenir marchombre

Son père… Si il y a une personne que Léna ne voulait pas revoir c’était bien son père. D’ailleurs elle n’était pas sure qu’il la reconnaitrait après tant d’année passé dans la nature à vivre au bord de la misère.
La phrase que la jeune fille la frappa, ainsi elle était aussi marchombre. Pourtant Léna n’aurait pas du être étonné, Céraina avait la carrure d’une marchombre et cela ne faisait aucun doute pour l’esprit. Après tous rare sont les personnes qui vont aider des personnes inconnues au péril de leur vie. Après avoir hésité à réveiller qu’elle aussi été marchombre elle répondit :

-D’abord merci Céraina, tu ma aidé plus que tu ne le pense et sans toi ce monde ne serait plus qu’un lointain souvenir. Ensuite moi aussi je suis apprentie marchombre et je suis ici pour vivre la vie, pour arpentait la Voie, pour découvrir, apprendre et connaitre une vérité… celle des marchombres.

Léna n’avait rien dit sur ce qu’elle venait de vivre car elle ne savait pas si c’était la vérité ou seulement le rêve d’une personne folle au bord de la mort. Mais cela ne faisait aucun doute que Céraina l’avait aidé, d’une façon ou d’une autre.

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