Nom : Iuaskallaphun
Prénom : Libertée ( oui oui, avec un
E )
Age: 23 ans
Ecole : Marchombre / Académie
Particularités : Attire les hommes comme des aimants.
Greffe : Cheveux contrôlables ( comme des sortes de tentacules pas tentacules quoi ! =P )
Lieu de naissance : Al-Jeit.
Famille : 3 lignes minimum Libertée s’est toujours parfaitement entendue avec ses deux parents. Elevée dans l’amour, l’ouverture et la compréhension, elle tient très fort à son père et sa mère, même si elle ne les voit plus beaucoup. Ils correspondent pas mal par courrier, avec des oiseaux. C’est grâce à eux qu’elle est ce qu’elle est, et elle a représenté, toujours, pour eux, le fruit d’un équilibre trop éphémère et trop beau pour être compris par tout le monde.
Ils se cachent actuellement dans les Archipels Alines, car ils sont recherchés par les Mercenaires du Chaos.
Description physique : 7 lignes minimumQuand Libertée se ballade, elle fait toujours mouche. Pourtant, elle n’est pas spécialement grande, et même plutôt petite du haut de son mètre cinquante-huit. Non, ce n’est pas cela qui attire l’attention, mais bien l’énergie folle qu’elle dégage, à chacun de ses pas, à chacun de ses mouvements. Ses longs accrochent les regards, c’est vrai. D’un côté, ils ne sont pas spécialement discrets non plus : descendant jusqu’au bas de ses genoux, d’un blond comme des blés mûrs, traversés par des longues mèches d’une couleur doucement ambrée, comme du miel, d’un roux clair surprenant. Et ce sont bien des vrais, oui oui ! Légèrement ondulés, ou plus souples qu’ondulés, en fait, ils sont la plupart du temps impossible à coiffer ou à maintenir en place. C’est pour cela que vous la trouverez la plupart du temps avec une haute queue de cheval. Oui, oui, une tresse, ça serait encore mieux, mais elle ne veut pas perdre l’atout simple qu’ils lui procurent par la greffe !
Puis, il faut bien dire ce qu’il en est : elle semble magnétique. Particulièrement pour la gente masculine, c’est un fait. Grâce à son corps délié, finement musclé ? A sa peau halée par les rayons du soleil, contrastant doucement avec la blondeur de ses cheveux ? A son visage un peu rond, avec ses pommettes hautes ? Avec son petit menton ? Avec son nez qui remonte en trompette ? Avec ses taches de rousseur qui foncent avec le soleil ? Ou peut-être ses deux immenses yeux qui lui mangent la moitié du visage, d’un rose profond, étonnant ? Ses lèvres fines qui sont toujours liées en cœur – malgré elle ?
Peut-être un peu de tout ça. Peut-être aussi que c’est cette aura sauvage, insaisissable, cette liberté de penser et de vivre, qui émane d’elle tellement fort qu’on pourrait presque la toucher… Ca, y’a pas de doute, ça attire comme le miel attire les abeilles !
Description de caractère : 7 lignes minimumFolle. Oui, c’est vraiment le premier mot qui vient à l’esprit quand on voit Libertée pour la première fois. Folle. Pas folle-furieuse. Pas folle-méchante. Pas folle-mauvaise. Pas folle-psychotique – quoique… Non. Plutôt folle-excitée ; folle-hyperactive ; folle-rayonnante. Elle ne s’arrête jamais, dit tout ce qui lui passe par la tête, et ne fait pas toujours attention aux mots qu’elle emploie… Non. Plutôt, elle aime voir les réactions des gens, les voir galérer un instant pour se demander si elle est bien sérieuse, si elle a bien dit ce qu’ils ont pu entendre… mais oui oui ! Sans aucun tabou, elle peut aborder tous les sujets avec tout le monde, même un passant dans une rue, même un mendiant dans le fond d’une ruelle sombre… Même en plein combat. Elle aime rire, et rit de tout. Vraiment de tout ! Ce qui peut bien évidemment mettre beaucoup de monde dans l’embarras, et pour pas grand-chose. Surtout quand elle se met à parler de morts avec l’impertinence d’une adolescente – qu’elle est sans aucun doute encore dans sa petite caboche. Taquine, elle cherche toujours la petite bête, juste pour embêter les gens, pour dédramatiser. Libertée déteste voir des personnes tristes ou mélancoliques, et essayera toujours de ramener un sourire chez eux ! et la première chose à faire, dans ces cas-là, c’est de sourire elle-même. Ah, ça, vous ne l’y tromperez pas : il y a toujours un sourire qui étire ses lèvres. La vie est faite pour être vécue, qu’importe les épreuves. Oh, on peut faire un peu attention de temps en temps, mais profiter de chaque instant à fond, s’élancer dans les dangers, même si elle ne les a pas « calculés » avant, cela ne la dérange pas. Une vraie casse-cou ! Elle reste toujours imprévisible, quoi que vous puissiez en penser.
Et elle a une vision bien à elle du monde et de la vie, qui peut être très controversée… Surtout chez les Marchombres !
Accessoires et animaux :Un petit poignard léger mais tranchant dans chacune de ses bottes. Une petite dague à sa ceinture, et puis c’est tout.
Histoire : 15 lignes minimumLibertée est née à Al-Jeit, il y a maintenant vingt-trois ans de ça. Elle y vécut heureuse pendant de longues années, sept exactement, entourée de l’amour de ses parents, qui avaient une attention toute particulière pour elle. Elle était toujours en train de poser des questions sur tout et sur rien, bavardait déjà pendant des heures pour ne rien dire, s’intéressait à tout, était curieuse comme cela n’en était pas permis. Mais toujours, inlassablement, avec patience, son père comme sa mère répondaient à ses questions comme ils le pouvaient, la comblant au plus haut point alors qu’elle s’emplissait de leurs connaissances. Elle eut même droit à des enseignants spécialisés, à partir de l’âge de six ans, qui lui apprirent les mathématiques, les lettres, et ce qui l’intéressait.
Malheureusement, durant sa septième année, ses parents voulurent s’en aller de la capitale de l’Empire. Elle avait perçu ce sentiment d’urgence, ils semblaient pressés, comme s’ils fuyaient quelque chose… La petite fille qu’elle était ne comprenait pas tout, mais en revanche elle avait bien saisi qu’ils s’en allaient pour se protéger – et pour la protéger. Pendant quatre ans, ils ne cessèrent de bouger, comme des Itinérants ; Ils ne s’arrêtaient jamais, ne passaient jamais dans les villes, faisant le tour de l’Empire. Oui, et Libertée était alors assez grande pour comprendre que quelque chose effrayait vraiment ses deux parents. Quelque chose qu’ils lui cachaient, évidemment.
A onze ans, alors qu’ils s’installaient dans une ferme loin de tout, au milieu des Plateaux d’Astariul, elle eut enfin les réponses que ses parents n’avaient pas voulu lui donner. Elle était frustrée, il fallait bien le dire, car ils avaient toujours répondu à tout, et cela faisait quatre ans qu’ils ne faisaient que se taire quand elle abordait ce sujet. Mais avec son caractère bien trempé, elle exigea évidemment de savoir enfin ce qu’il se passait !
***
- Libertée… C’est vrai que tu es assez grande maintenant pour savoir…Sa mère jeta un coup d’œil à son père, en coin, avant de faire s’asseoir sa fille sur une chaise, contre la table.- Tu sais, on t’avait déjà parlé des Marchombres ?
- Oui ?
- Et des Mercenaires du Chaos ?
- Oui, mais oui ! Mais je ne vois pas le rapport !Elle prit une inspiration, alors que son mari venait prendre place à côté d’elle, lui posant une main apaisante sur l’épaule.- Justement. C’est là que tout commence. Nous sommes recherchés par les Mercenaires du Chaos… C’est eux que l’on fuit depuis toutes ces années. Ils ne renonceront certainement pas, mais à nous deux, on peut les fuir. Vivre notre vie.
- Mais… mais pourquoi ? Vous avez fait quoi ?
- Ta mère n’a fait que m’aimer. Quand à moi, ce n’est que le fait que je vive qui les dérange.
- Je ne comprends pas !
- Calme-toi ma chérie. Calme-toi. Ils nous cherchent, parce que… Parce que je suis une Mercenaire du Chaos, et plus spécifiquement une Envoleuse. Les Envoleurs tuent les Marchombres. Et j’aime ton père.
- Que…
- Pour eux, c’est une trahison. C’est pour cela qu’ils veulent m’éliminer. Et ton père, c’est parce qu’il a le malheur d’être mon amour et Marchombre à la fois.
- J’aurais plutôt dit le « bonheur »…
- Peut importe. Tu as compris ma puce ?Libertée les fixa tous les deux, tour à tour.
Sa mère accoudée sur la table, pour être plus près d’elle. Son père derrière sa mère, une main sur son épaule pour l’encourager silencieusement. Elle n’imaginait même pas que sa mère fût capable de tuer qui que ce soit ! - A peu près…***
Ils parvinrent encore à échapper aux Mercenaires du Chaos Durant plusieurs années. La ferme était très bien cachée, et surveillée, évidemment. Libertée, après avoir appris ce qu’étaient ses deux parents, avait aussi exigé d’apprendre à se battre, pour ne pas se sentir tout à fait inutile si jamais cela arrivait trop vite. Ses arguments étaient justes, et ainsi ce fut son père qui lui enseigna à se battre à mains nues, et avec un poignard.
Mais elle avait pris goût, malgré tout, au voyage. A l’indépendance que cela procurait. Alors à l’âge de quinze ans, elle demanda à ses parents si elle pouvait partir, pour faire sa propre vie. Ce fut difficile pour eux, mais ils acceptèrent néanmoins la décision de leur fille. Ce fut son père qui l’amena jusqu’à la ville la plus proche : Al-Poll. Elle voulait y trouver un travail, faire sa vie seule, ne plus dépendre de personne sauf d’elle-même. C’était essentiel à ses yeux.
Elle travailla dans une auberge pendant trois ans, à servir des badauds et des ivrognes.
Grâce à elle, la taverne en question devint un lieu incontournable quand les gens venaient en ville : le bouche à oreille voulait qu’elle fût la plus jolie fille de la ville, et la plus pétillante. Elle offrait ses services, souriait toujours, s’amusait avec les ivrognes qui étaient trop entreprenants… Sa présence était comme un rayon de soleil, et l’établissement s’enivra de cette renommée qu’elle lui fit. A côté de cela, elle faisait d’autres petits boulots pour ramasser un peu plus d’argent : elle ne comptait pas rester dans cette auberge toute sa vie. Elle ne savait pas trop ce qu’elle voulait, mais pas rester en place, c’était sûr ! Explorer l’Empire par elle-même, et pas comme elle l’avait fait avec ses parents…
Mais un jour, un homme étrange l’aborda, dans l’auberge. Fascinée par l’aura qu’il dégageait, elle ne résista pas à son invitation, et il lui proposa de le suivre pour une folle aventure. Il avait prononcé le nom de son père, et décrit une Voie qui faisait tout simplement rêver Libertée. Libre !
Elle suivit Thaom pendant trois ans. Passa son Ahn-Ju, le réussit avec presque la moitié des os brisés. Il lui fallut un bon mois de rétablissement, même après que les Rêveurs se fussent occupés d’elle. Puis, elle se lança dans l’ascension du Rentaï. Mais en le quittant, elle ne savait pas si la greffe lui avait été accordée ou non. Elle ne se sentait pas changée, et même si le Murmure avait laissé une trace indélébile de douceur en elle, elle n’était pas capable de répondre à la question
« et alors ? » lorsque son Maître la lui posa.
Elle ne la découvrit que quelques mois plus tard, alors qu’ils escaladaient la plus haute pointe des Dentelles Vives. Elle avait des chaînes aux poignets et aux chevilles, et avait mal négocié une prise. Dans son élan, dans sa panique, et avec la lourdeur des chaînes, elle se vit déjà écrasée en bas, du sang sortant de sa bouche et de ses oreilles, démantelée… Ouvrit les yeux, pour se rendre compte de l’impossible : ses cheveux ! Elle avait trouvé des prises avec ces derniers, et se tenait accrochée sûrement à la paroi…
Envol.
Puis, cela fait deux ans qu’elle se balade dans tout l’Empire, appréciant la Liberté dont elle jouit quotidiennement. Rendre visite aux Faëls, explorer la jungle d’Hulm, contacter ses parents… Elle alla même les rejoindre quelques semaines dans les Archipels Alines, à la suite de plusieurs missives.
Et la revoilà.
Elle se sent désormais prête pour un nouveau défi !
Où avez-vous connu le forum? par un Top-site.
Présence sur le forum : 7/10
[ PS : désolée pour cette histoire médiocre, je me rattraperai en RP, promis ! <3 ]
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Ven 03 Fév 2012, 18:13
