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 Les monstres sont créés par les Hommes

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5 participants
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Nell Shap
Groupe Uklin
Nell Shap


Nombre de messages : 4
Date d'inscription : 24/01/2017

Feuille de personnage
Age: 21 ans
Greffe: Non
Signe particulier: De nombreuses cicatrices sur les bras

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MessageSujet: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeMar 24 Jan 2017, 21:18


Je fixe ce miroir qui me reflète un visage. Mon visage. Je ne suis pas idiote, je connais le rôle et le fonctionnement de cet objet, et pourtant j’ai l’impression d’être flou. De ne plus savoir réellement qui je suis. Heureusement, mes doutes font place à une froide détermination. Voilà ce qui me caractérise, mais je vous en dirai plus plus tard.
Il n’y a rien à admirer.  Un visage banal, des traits assez anguleux avec un menton plutôt pointu bien que je ne sois pas non plus au stade de sorcière. Si on regarde légèrement plus haut, il y a comme pour tout le monde une bouche, petite serait un bon qualificatif, avec des lèvres pulpeuses. Je ne m’arrêterai pas en si bon chemin, mes yeux remontent encore pour fixer un nez légèrement incurvé, peu large et de chaque côté des yeux en amande, verts, tels ceux d’un serpent. Pourquoi cette comparaison ? Tout simplement parce que c’est la première chose qui me vient à l’esprit, mais c’est surement dû à la malveillance qui en ressort lorsqu’ils se posent sur quelque chose en particulier, généralement, une personne. Je hais les gens tout simplement. Heureusement, ce visage est assez bien dissimulé par mes longs cheveux châtains et ondulés qui descende jusqu’à sous ma poitrine et la petite mèche qui couvre mon front arrivant plus bas que mes yeux. J’aime me faire cette marque sur le visage, d’une joue à l’autre. Du sang. Mon sang. Une marque que les gens ne comprennent pas, et ce qui ait bizarre fait peur, ce que l’on ne comprend pas, on s’en éloigne, j’ai ainsi la paix.
Je vais continuer par une nouvelle qui va vous surprendre, j’ai un cou qui soutient ma tête, hallucinant non ? Mes épaules sont assez large, trop pour être considérée comme parfaite pour la gente masculine, trop de carrure, pas assez de finesse, je suis nez comme ça, à croire que même la génétique à tout fait pour faire de moi un monstre. Ça je ne le tiens pas de ma mère, elle qui est si jolie… en même temps elle a intérêt pour se faire trois sous, et je suis sûre de ne pas emprunter la même voie qu’elle avec ce corps. Oui, vous l’aurez deviné, elle me dégoute. Ma poitrine est généreuse bien que pas tout à fait opulente, mais au moins elle ne me gêne pas dans mes tâches quotidiennes. Mes bras son proportionnés par rapport à ma taille, c’est-à-dire pas très grand avec mon mètre soixante-cinq. Mais ils sont couverts de cicatrices. Ne commencez pas à imaginer des accidents, ou des maltraitances. Je suis tenté de vous dire que je les ai héritées de mes nombreuses altercations, mais ce serait un vilain mensonge, la pure est simple vérité, c’est qu’elles sont là par ma faute. Un couteau guidé par ma main, tranche ses chaires. Pourquoi ? Je n’ai pas envie d’y penser pour le moment. Un ventre assez plat, et des jambes qui supporte cette chose que je suis. Bien évidemment je reste une femme, alors oui je complexe également sur mes cuisses, mais qui ne le fait pas ? A part ces femmes magnifiques, celle qui comme ma mère se servent de leurs atouts pour avoir ce dont elles ont besoin. Je ne serais jamais pitoyable à ce point. Je crois que je vais m’arrêter ici, sinon je vais finir part détailler jusqu’à ma pointure.
Le tour du propriétaire étant terminé, j’envoie mon poing dans ce miroir qui me renvoie cette image de moi, image qui ne veut rien dire, souvenir d’un passé sur lequel je veux tirer un trait. Oui je hais les gens, oui je hais particulièrement ma mère, mais celle que je ne veux plus revoir, c’est moi. Moi et ma faiblesse. Moi et mes espoirs. Moi et ma naïveté exaspérante. C’est pour ça que je suis ici, pour devenir quelqu’un d’autre. Celle que j’étais est morte aujourd’hui, et demain, je marcherai sur le chemin de ma vengeance.
Voilà les conclusions auxquelles je suis parvenue dans la chambre que j’ai loué à la petite auberge au bord d’ombreuse. Je sais où je veux aller, je suis en route, et je sais que j’atteindrai ma destination. Mais savoir ce que l’on veut n’est parfois pas suffisant, et il a fallu que j’arrive si proche de mon but pour confirmer ma volonté d’avancer, ma volonté de renoncer à mon ancienne moi. Non, pas de renoncer, de la détruire, je ne veux pas qu’il en reste une seule miette.

Comment en suis-je arrivée là ? Une longue suite de déception et de trahison. Et beaucoup de larmes, trop de larmes. Mais maintenant je me suis rendue compte que les pleurs étaient vains, ce n’est que le reflet de la faiblesse de la personne qui les verse. Je ne veux plus être faible, je ne veux plus être celle qui subit. J’aurais aimé un monde où je n’aurais pas eu à choisir, un monde où je pouvais vivre ma vie en paix, sans que l’on me cherche querelle, et vivre en harmonie avec les miens. J’ai déchanté. La douleur, on la subit où on l’inflige. Je l’ai trop subit, j’ai changé de camp.
Je suis nez dans un foyer sans histoire, on aurait presque pu dire « il était une fois », parce que vu le début, il n’y avait aucune raison que cela tourne mal. Et je vous assure que si je devais choisir entre une histoire passionnante à vous raconter, ou une vie morne et ennuyeuse mais sans heurts, j’aurais pris la deuxième option. Mais la vie est une chienne et j’ai dû apprendre à encaisser. Mais grâce à elle je deviendrai plus forte, je lui dois ma rage de vaincre, et ma volonté à toute épreuve. Même si là où je vais, je devrais surmonter de nouvelles difficultés.
Un bébé, un père, une mère. Que demander de plus ? Nous vivions dans un petit village près d’Al Vor, nous étions loin d’être riche, mais je n’avais pas besoin de ça. J’étais une petite princesse, loin d’être pourrie gâtée au vu de nos moyens, j’avais l’amour de mes parents, un amour que je pensais inconditionnel et intemporel. Je n’en demandais pas plus. Mais peut-être était-ce déjà trop demander ? Mon père est parti. J’ai mis du temps avant de découvrir que c’était pour une autre femme que ma mère, à l’époque, j’avais seulement cinq ans, et pour que je ne me fasse pas d’illusion sur son retour, ma mère ne m’avait pas épargnée. « Il ne nous aime plus ». Voilà ce que j’entendais de sa bouche quand je demandais où était mon papa.
L’espoir d’une enfant n’a pas de limite, alors je guettais son retour chaque jour, je sursautais la nuit au moindre bruit croyant qu’il venait me retrouver. Cela n’arriva pas. Il me restait l’amour d’une mère. Une mère qui reporta sur moi la frustration de ne plus avoir un homme pour l’entretenir, me rejetant la faute du départ de mon père. Une femme, magnifique à souhait, et qui se mit à vendre son corps pour payer de quoi manger. J’ai rarement vu des honnêtes hommes franchir la porte de notre maison. Mais j’en ai vu des particulièrement mauvais.
J’ai donc grandi en jouant avec les autres gamins du village la journée, et la nuit en me glissant dans mon lit, sous la couette, en fermant les yeux le plus fort possible et en me bouchant les oreilles pour ne pas entendre ce qu’il se passait juste à côté de moi. Je me sentais seule, abandonnée, je ne voyais presque plus maman qui était fatiguée de ses nuits et donc dormait la journée, et quand elle était là, elle était de mauvaise humeur. Cette vie n’était pas facile à supporter, et ça je peux le concevoir, mais on fait tous des choix, et c’est ce qu’elle avait choisi.
Plus je grandissais, plus cette situation m’oppressait. Je ne savais pas comment me rendre utile et aider ma mère, j’avais une dizaine d’année, et j’essayais de rendre service aux autres contre quelques pièces pour que je puisse retrouver celle qui m’avait souri à mon premier jour et qui aujourd’hui ne savait même plus que j’existais. Je me souviendrais toujours de son rire, quand je lui apportais un bocal de piécette durement gagné. D’un revers de la main elle le projeta au travers de la pièce en m’insultant, me traitant de gamine naïve et idiote, comme si cela allait suffire à nous sortir de là. Surtout avec la charge que je représentais pour elle.
Le problème venait donc de moi. Je l’empêchais de vivre. Si je trouvais un moyen de survivre seule, alors peut-être qu’elle redeviendrait comme avant. Visiblement, l’espoir est un sentiment tenace. Tenace et nuisible, je le sais aujourd’hui. Je suis allée vivre chez un ami, ses parents m’ont gentiment accueilli en échange de mon aide à certaines tâches quotidienne, et quand je travaillais pour d’autres, je leur donnais l’argent, non parce qu’ils le demandaient, mais pour les remercier, et j’y tenais vraiment. Ils sont devenus ma famille, mais comment aurais-je pu oublier celle qui m’avait mise au monde ?
Plus je grandissais, plus j’y pensais, inlassablement. Mais j’avais aussi construit mon petit univers à moi. L’ami qui m’avait recueilli chez lui était devenu bien plus qu’un ami. Il était toute ma vie, et j’aurais tout fait pour lui. Je n’avais peur que d’une chose. D’être abandonnée de nouveau. Donc je devais absolument m’assurer de ne pas être un poids. A mes seize ans, j’ai trouvé un travail de serveuse à Al Vor, alors oui ce n’était pas le travail de mes rêves, mais au moins je me sentais libre de faire ce que je voulais de ma vie, et il resterait près de moi. Nous vivions toujours chez ses parents, je partageais mon maigre salaire, un quart pour nous deux, un autre pour ses parents, et la moitié pour ma mère. Une rentrée d’argent qui la soulagea visiblement. Je m’en doutais à son regard lorsque je la croisais, elle ne me détestait plus. Il lui faudrait sans nul doute du temps pour se relever, mais elle y parviendrait, j’en étais persuadée. Je lui laisserai le temps qu’il faut, et puis nous reformerions une famille.
La désillusion à un goût amer. Elle recommença à me sourire, à m’inviter à revenir à la maison, disant qu’elle avait besoin de moi, qu’elle voulait reconstruire notre relation, que je lui manquais, et tellement d’autres mots doux que je succombais à sa demande. Mentir à sa fille, la manipuler, c’est moche non ? Ne soyez pas hypocrites, vous faites la même chose chez vous, c’est pourquoi je vous hais. La vérité c’est qu’elle me détestait de ne pas avoir eu recours à mon corps pour gagner de l’argent, elle m’en voulait de ne lui donner que la moitié de mes gains alors que j’avais un toit gratuitement, elle voulait plus. Et elle savait, elle savait qu’une vierge reviendrais à toucher le pactole. Vendue aux enchères comme un animal.
Je ne m’étendrais pas sur la suite, personne n’a besoin de savoir ce qu’ils m’ont fait, mais ils l’ont fait. J’avais alors un peu plus de 18 ans. Et pour que l’humiliation soit totale, ils m’ont laissée une trace. Mon homme ne pouvait plus rester avec quelqu’un de sali, avec une femme qui portait un enfant qui n’était pas de lui. Heureusement, ses parents ont accepté de continuer à m’héberger, mais seulement le temps de ma grossesse. Après je devrais partir.
Je ne suis plus retournée au travail, j’ai passé des journées et des journées à pleurer, à supplier celui que j’aimais, sans que jamais il ne change d’avis. Mes espoirs se brisèrent, de même que mes rêves. Et pour ne pas m’effondrer, je puisai ma force ailleurs. Je me mis à maudire mon père, à maudire ma mère, à maudire ces hommes, à maudire celui qui refusait de me pardonner pour ce qu’il s’était passé, à maudire ses parents que je considérais comme ma famille et qui allait me jeter dehors. Et à maudire cet être qui grandissait en moi, car sa présence me faisait ressasser cette histoire encore et encore.  A chaque fois que la tristesse revenait, je la faisais fuir par la douleur, me rappelant ce qu’ils m’avaient infligées, des blessures inoubliables, et la colère reprenait le dessus.
Je finis par partir, ne voulant plus voir ses visages, ses regards méprisant de ceux qui ne savaient rien, celui satisfait de ma mère, et ceux fuyant de ma famille d’adoption. J’aurais dû tuer l’enfant, aujourd’hui j’en ai conscience, mais à l’époque la haine n’avait pas encore assez pris place dans mon cœur. Alors je me contentais de l’abandonner à la naissance. J’avais pris le temps de chercher une bonne famille qui voulait d’un enfant, et je le laissais la, simplement. Même si au fond de moi je savais que cela ne voulait rien dire, sur le papier, la mienne était parfaite au commencement. Les bonnes choses ne durent jamais bien longtemps.
Me voilà dans la rue à 19 ans. J’aurais pu recommencer depuis le début, chercher un travail, et vivre seule, ne compter que sur moi-même pour éviter les déceptions. Le choix du milieu, ne pas subir, mais ne pas non plus être la méchante. Mais je n’avais pas la tête à travailler. Je ne voulais pas servir les gens, ni les aider ni avoir quoi que ce soit à voir avec eux. Voler fut mon option. Voler pour manger, voler pour me vêtir. Il y eut quelques accrocs avant que je ne me fasse la main, mais j’étais intelligente, du moins un minimum, assez pour apprendre vite ce qui fonctionnait ou non. Cela me permettait de rester non loin de cet enfant, une petite fille. Je regardais cette famille jour après jour dans l’ombre. Jusqu’à les un an de la petite. Mais je souffrais. Je souffrais de ne pouvoir serrer contre moi le seul être qui me restait, et je souffrais de la voir avec ces autres parents mais qui avaient tellement mieux à lui offrir, et en même temps en elle je ne voyais que les étapes d’un passé empli de désespoirs.
Je devais choisir, la récupérer, et essayer de mener une vie, sans logement, sans un sous en poche, et à essayer de trouver un travail avec une enfant sous le bras, la séparer de ceux qui actuellement la choyait avec amour, sans aucune haine dans le regard. Ou tourner les talons et partir. Mais je devais trouver une force en moi, plus grande que jamais, pour m’arracher à tous ces liens qui me retenaient.
J’ai choisis. Ces gens ont détruit ma vie, et j’ai juste disparue de la leur, ils ont gagné et j’ai perdu. Mais je me refuse à abandonner la partie. Ils doivent payer pour ce qu’ils m’ont fait, et si aujourd’hui je suis impuissante, je peux devenir plus forte pour assouvir ma vengeance. Pas seulement envers ceux qui s’en sont pris à moi, mais envers tous ceux qui ont causer le malheur de quelqu’un, ou pires, ceux qui ont créés et nourrit les faux espoirs des personnes naïves comme je l’étais.
Seule, je mettrais un temps infini à devenir l’arme de ma vengeance, je ne saurais même pas où commencer. Il fallait que je trouve une solution et pour cela il fallait bien écouter les rumeurs, et trouver quelqu’un pour m’aider. Avoir recours à une tierce personne ne m’enchantait pas, mais il fallait pour arriver à mes fins alors je me servirai d’elle c’est tout.
Il me fallut encore galérer près de un an à laisser trainer mes oreilles et en cherchant à gauche et à droite qui pourrait me faire devenir plus forte que j’ai entendue parler d’ombreuse. Je ne risquais visiblement pas de tomber dessus par hasard, j’avais suivi un homme effrayant qui trainait avec un jeune et ils disaient devoir rejoindre cet endroit. J’ignore s’ils avaient conscience de ma présence ou s’ils savaient que j’écoutais, mais pour mes 21 ans j’avais enfin une piste. Alors c’est intriguée que j’avais pris cette direction. Voilà comment je m’étais retrouvée dans cette auberge.

Demain je me mettrai en route pour traverser la forêt et trouver ce lieu pour trouver les personnes effrayantes et me joindre à elle pour me donner les moyens d’assouvir ma vengeance. Je ne sais pas si je serais bien accueilli ou accepté, ce n’est pas comme si j’étais une personne qui s’adaptait facilement. C’était peut-être le cas avant, mais j’étais devenue aigrie, et mauvaise, méprisant le monde comme il l’avait fait avec moi. Les gens je m’en tenait loin habituellement, alors cela risquait d’être compliqué, mais je ne pouvais pas renoncer. J’avais assez de détermination pour arriver à mes fins j’en étais certaine. Je ne pouvais croire que cette confiance en moi n’était qu’une façade, car la haine qui consumait mon âme me transporterai n’importe où. Je deviendrais celle que je voulais, froide, sans cœur, juste une arme. Je n’étais plus une enfant, un cap était définitivement franchi.

Je pris donc mon sac, y fourrant mes maigres affaires, des provisions pour la route, une tenue de rechange, et un couteau que j’avais dérobé et qui m’avait servie lorsque je m’étais retrouvée plusieurs fois en mauvaise posture. J’étais prête.

J’ai connu le forum par la page facebook
Je pense pouvoir me connecter minimum 4fois par semaine
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Rilend Ansakh
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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeJeu 26 Jan 2017, 22:24

Hey, salut !
Les autres sont de gros flemmards, ils ne sont même pas venus te dire bonjour...alors bon, moi je viens te souhaiter la bienvenue et j'ai ramené des cookies Wink

Plus sérieusement, bienvenue ! Pour moi, ton perso est nickel et bon à valider dès que tu te seras trouvé un avatar, même provisoire, mais j'attends l'avis d'un deuxième admin (ils vont arriver, les cookies ça va les attirer).
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Syndrell Ellasian
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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeVen 27 Jan 2017, 00:00

Cookies ? Vous avez dit "cookies" ? Razz

Salut Nell, bienvenue chez nous ! Ta fiche me convient. Il faudrait que tu actives ta feuille de personnage (dans ton profil) et que tu mette un avatar pour que nous te validions.

Ensuite, tu pourras rejoindre le côté Obscur de la Force... Twisted Evil
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Nell Shap
Groupe Uklin
Nell Shap


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Signe particulier: De nombreuses cicatrices sur les bras

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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeVen 27 Jan 2017, 20:41

Voilà c'est fait, l'avatar est temporaire, la taille est petite mais je ne sais pas faire mieux je vais commander ça dans la partie adéquat ^^
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Erwan Narcos
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Erwan Narcos


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Citation : L'amour c'est l'Harmonie des sentiments
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Greffe: Lames dans le prolongement du cubitus et du radius
Signe particulier: Se tranforme en jaguar ; A une fille avec Miss : Yllena

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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeDim 29 Jan 2017, 22:55

Bienvenue Nell !

J'aime beaucoup ta fiche ! Pour moi tout est en ordre maintenant que tu as ton avatar.
Tu es donc validée et fais partie du groupe Apprentis. Tu peux également commencer à RP !

On devrait pouvoir te trouver un Maître rapidement, pour que tu puisses commencer les cours Smile

Amuse-toi bien !
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Lanthane Manganèse
Groupe Zoxx



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Citation : Le mensonge se cache au milieu de l'abondance des mots
Date d'inscription : 01/08/2013

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Greffe: Non
Signe particulier: Ecailles en forme de feuille de vigne greffées à la base de la nuque; peur de l'infini; parle ts'liche

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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeMar 31 Jan 2017, 20:16

Bienvenue graine d'envoleuse !
J'ai bien aimé ta fiche ^^ Puisses-tu te plaire ici =)
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Nell Shap
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Nell Shap


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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitimeMar 31 Jan 2017, 20:33

Merci Smile
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MessageSujet: Re: Les monstres sont créés par les Hommes   Les monstres sont créés par les Hommes Icon_minitime

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